C’est une création contemporaine et, pourtant, elle nous renvoie aux temps immémoriaux. Conservatrice au mudac, Susanne Hilpert Stuber lève le voile sur l’œuvre énigmatique et polyphonique de Noémie Sauve, tout juste entrée dans les collections.

Le «Disque d’obsidienne galactique fertile» de Noémie Sauve (2022), composé de cristal, verre radioactif fluorescent et oxyde de cérium. | Photo: Katrin Backes
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